Un historique de la Chronique alpine
Préambule
Une chronique alpine est le premier maillon d'une chaîne d'informations signalant succinctement une ascension, un itinéraire, une exploration et autres performances d'alpinisme dans les revues de montagne… Viendra ensuite la description précise des itinéraires dans ces mêmes revues par un rapport des auteurs et les avis éventuels des répétiteurs, pour aboutir aux guides-itinéraires exhaustifs réunissant les différentes connaissances consacrées à un massif ou à une chaîne de montagnes…
Ces manuels complets accessibles à tous seront les éléments de base de l'information, jusqu'à l'arrivée d'Internet…
- La Chronique alpine de la revue La Montagne & Alpinisme, regard porté sur l'activité des alpinistes sera aussi, à un certain moment, sous la plume de Lucien Devies de 1958 à 1976, une tribune où se manifestera un esprit critique beaucoup plus appuyé, en cherchant à peser dans les orientations de la discipline…
Sommaire :
- Un siècle d'informations
- 1913 - Une véritable chronique
- 1926 - La création de la revue Alpinisme
- 1930 - La rubrique "Information"
- Les comptes rendus de l'été
- 1952 - Réapparition de la "Chronique alpine"
- 1968 - Les premières les plus remarquables
- 1977 - Une contribution unique
- Des observations pertinentes
- 1980 - Faire vivre cette chronique
- 2017 - Un nouveau chroniqueur
- En guise de conclusion
Dès 1874, l'Annuaire du Club Alpin Français se voulait le reflet fidèle de l'orientation « savante, touristique et mondaine » de l'association.
Les informations principales concernaient des descriptions géographiques, géologiques et morphologiques des montagnes, des massifs et des vallées, et les impressions des ascensionnistes et excursionnistes, rarement des informations utiles pour une éventuelle autonomie. Un Bulletin Trimestriel, consacré principalement à la vie interne du Club, venant compléter la communication dès 1876.
UN SIÈCLE D'INFORMATIONS
En 1904, les deux publications - l'« Annuaire » le « Bulletin Trimestriel » - sont réunies dans une seule édition se voulant mensuelle sous le titre : La Montagne.
- Le 15 janvier 1905 paraît le premier numéro de La Montagne, revue mensuelle du Club Alpin Français. Dans son éditorial, le rédacteur en chef Maurice Paillon fixe le cadre rédactionnel de la revue et évoque une « Chronique alpine » comprenant les explorations nouvelles et les renseignements sur l'état de la montagne.
Dès ce premier numéro, la « Chronique alpine » compte parmi les principales rubriques de la revue, c'est un moyen d'information destiné aux pratiquants de la montagne. Elle renseigne sur les explorations et les ascensions notoires, rend compte de l'activité des alpinistes et publie les différents avertissements pratiques.
1913 - UNE VÉRITABLE CHRONIQUE
En novembre 1913, une Chronique alpine plus appropriée est publiée dans La Montagne montrant que les choses bougent en ce qui concerne l'information des alpinistes. Les rédacteurs sont Jean Escarra, Maurice Paillon et Jacques Wehrlin.
L'activité des Chevalier, Damesme, Jacquemart, Job, Le Bec, Lépiney et autre Wehrlin, membres du « Groupe des Rochassiers », est soulignée. Ils sont parmi les futurs fondateurs du « Groupe de Haute Montagne ».
Ne passe pas inaperçu « l'admirable campagne » de Paul Preuss dans le versant italien du Mont Blanc, ainsi que les ascensions d'Hans Pfann et de Karl Blodig par l'arête du Brouillard de cette même montagne, des relations traduites depuis les revues des Clubs Alpins Allemand et Autrichien.
Le chroniqueur commence à aller chercher l'information et s'autorise quelques remarques et commentaires.
Avec la communication de Pierre Blanc, "guide de première classe" de Bonneval-sur-Arc, c'est en 1913 un premier regard qui est porté hors d'Europe, avec le compte-rendu d'une tentative d'ascension du Kamet en Himalaya, à plus de 7150m, pour Blanc et "son anglais" Charles Meade.
1924 - Une échelle des difficultés de l'escalade rocheuse
En 1924, dans les Alpes orientales, Willo Welzenbach propose une évaluation des difficultés d'un passage d'escalade rocheuse par une échelle en six degrés, s'inspirant des notations pédagogiques germaniques en cinq degrés, avec un sixième degré représentant la limite des possibilités humaines….
C'est cette graduation, basée sur la comparaison avec des passages d'escalade rocheuse de référence, qui sera désormais utilisée pour évaluer les difficultés d'un obstacle rocheux à franchir dans les Alpes orientales.
En 1925, tout s'accélère
- En 1925, tout s'accélère, la chronique s'étoffe un peu, mais ses colonnes ne sont pas proportionnées au besoin d'information et à l'activité des grimpeurs.
Le GHM décide de créer un « Annuaire » qui doit constituer « un répertoire des informations relatives tant à l'activité du groupe qu'à l'activité de ses membres, et plus généralement encore de tous les renseignements concernant l'alpinisme ». En réunissant les descriptions des itinéraires nouveaux, dès 1926, ce recueil venait judicieusement compléter les informations de la chronique alpine.
- En 1925 à 1946, une série de guides-itinéraires « décrivant la haute montagne » du massif du Mont-Blanc, est publiée par le GHM dans la collection des guides Vallot-Fischbacher. C'est la phase ultime de l'information alpine, initiée par une chronique alpine (voir le dossier du CFD : Les guides-itinéraires pour l'alpinisme).
1926 - LA CRÉATION DE LA REVUE ALPINISME
- En 1926, une revue de qualité - réservée exclusivement à l'alpinisme - se présente. Dès la première année, une information alpine paraît dans Alpinisme, avec comme titre : Informations, un paragraphe est consacré aux expéditions hors d'Europe (voir le dossier du CFD : Le Groupe de Haute Montagne).
- En octobre 1930 apparaît dans La Montagne un nouveau chroniqueur, il a juste vingt ans, « notre camarade a bien voulu nous aider à compléter les renseignements que nous possédons sur les principales grandes ascensions réalisées cet été et c'est à ses notes personnelles que nous avons fait appel principalement ». Aussitôt les informations arrivent concises et précises.
C'est Lucien Devies qui va ajouter beaucoup de passion à une grande rigueur et une capacité de travail époustouflante.
1930 - LA RUBRIQUE « INFORMATIONS »
Durant les « légendaires années trente » la chronique« Informations » de la revue Alpinisme est d'une qualité et d'une pertinence sans égale, ceci au prix d'une correspondance acharnée.
Pour les vingt années à venir, le principal de l'information alpine se trouve sous la rubrique « Informations », par la plume de Lucien Devies.
1933 - La Chronique alpine disparaît provisoirement
Avec la réorganisation de 1933, la Chronique alpine disparaît au sommaire de la revue La Montagne pour un nouvel intitulé : Variétés et Courses nouvelles.
C'est la rubrique « Informations » de la revue Alpinisme qui va s'imposer.
Pour les vingt années à venir, le principal de l'information alpine se trouvera dans les pages « Informations » d'Alpinisme sous la plume de Lucien Devies.
Une double graduation des difficultés
En 1935, Lucien Devies publie ses « propositions pour une graduation des difficultés dans les Alpes Occidentales ».
Un double système de cotation de l'ensemble des difficultés d'un itinéraire rocheux, basé sur des comparaisons avec des ascensions de référence et applicables dans nos Alpes occidentales.
Une première échelle d'évaluation informe sur des différents obstacles à gravir en six degrés d'un itinéraire, elle est directement inspirée du système Welzenbach, c'est la classification d'un passage.
Une seconde échelle apprécie l'ensemble d'une ascension allant du « facile » à « l'extrêmement difficile » en six degrés également, c'est la classification globale d'un itinéraire.
La nouvelle proposition réclamait de bien différencier, ce qui appartient à l'escalade libre, de ce qui ressort de l'escalade artificielle. Le fameux VI sup des Dolomites, qui indiquait : soit une escalade libre difficile, soit une escalade artificielle technique, soit encore un passage exposé et peu sécurisé, a vécu… (voir le dossier : Un historique du Club Alpin Français de 1915 à 1940).
Le sujet provoquera une belle polémique, mais Lucien Devies saura finalement imposer ses vues permettant de « passer du vague au défini » (lire les articles de La Montagne, 1935).
Avec une indication précise des difficultés, établie par comparaison avec des difficultés connues, c'est le dernier élément d'information utile à la Chronique alpine qui est proposé.
L'histoire de l'alpinisme
< En 1939, Lucien Devies fait paraître dans la revue Alpinisme l'article « Alpinisme et nationalité ». Certains - beaucoup plus tard - tenteront d'en détourner les propos à des fins d'édition.
< En 1941, il publie dans la même revue « Les débuts de l'alpinisme sans guide français ».
Deux contributions à l'histoire de l'alpinisme…
Les comptes rendus de l'été
En 1945, dans les pages de la revue La Montagne, une synthèse de l'activité alpine est proposée toujours par Lucien Devies « L'alpinisme français de 1939 à 1944 », un résumé de l'activité alpine de ces années difficiles. Ensuite, la mémoire sera conservée par des « Comptes rendus annuels de l'été dans les Alpes », c'est l'occasion de valoriser une certaine conception de l'alpinisme, de proposer un modèle de pratique.
Dès 1946, les premiers guides-itinéraires d'une nouvelle série décrivant, dans une unité de présentation, les massifs du Mont Blanc et des Écrins sont édités, les Guides Vallot et des Écrins des Éditions Arthaud (voir le dossier du CFD : Les guides-itinéraires pour l'alpinisme).
1952 - RÉAPPARITION DE LA « CHRONIQUE ALPINE »
Jusqu'en 1952, le principal de l'information alpine continue de se trouver sous la rubrique « Informations » de la revue « Alpinisme » par la plume de Lucien Devies.
Le titre « Chronique alpine » réapparaît en 1952, mais curieusement dans « Alpinisme », exit « Informations ».
Lucien Devies va trouver avec Jean Cousy, un précieux collaborateur partageant sa ferveur et sa passion, ils seront en 1952 les corédacteurs de la Chronique alpine pour la revue Alpinisme.
Plus tard en février 1955, avec la fusion des deux titres « La Montagne » et « Alpinisme », la Chronique alpine trouvera naturellement sa place dans la nouvelle publication « La Montagne & Alpinisme ».
Une légitime fierté
La légitime fierté de celui qui a tenu à bout de bras la revue « Alpinisme » pendant 25 ans est exprimée dans le dernier éditorial de la revue du GHM :
« Témoignage des alpinistes les plus entreprenants, "Alpinisme" est conscient d'avoir valablement exprimé durant 29 ans l'alpinisme français et même l'alpinisme dans le monde entier. Il est convaincu d'avoir été, pour les grimpeurs français, l'inspirateur d'une action consciente, à la fois équilibrée et audacieuse ».
- C'est un des rares satisfecit que l'on trouvera de la main de Lucien Devies concernant son immense travail...
Une influence reconnue
- Nous n'omettrons pas d'ajouter les commentaires de la revue de l'« Alpine Climbing Group », association qui réunit les meilleurs alpinistes britanniques :
« L'influence de la revue "Alpinisme" sur l'alpinisme français a été indéniable et capitale. Elle a aussi certainement encouragé les progrès rapides et le développement de l'alpinisme en général...
Une influence qui s'est fait sentir dans de nombreux pays étrangers.
Il n'est pas exagéré de dire que l'Alpine Climbing Group a été constitué dans une large mesure sous l'impulsion directe de cette revue. "Alpinisme" nous a donné une image franche de l'alpinisme de l'après-guerre.
Elle nous a permis un aperçu sur les méthodes d'ascension contemporaines une image réelle et sans préjugés ; elle nous a démontré que l'alpinisme est un sport raisonnable et non fanatique et nous a incité à essayer des ascensions similaires.
Les Alpes ayant ainsi été mises à notre portée, plusieurs parmi nous avaient été amenés à former le club ».
1955 - La chronique alpine de « La Montagne & Alpinisme »
La Montagne & Alpinisme réunit désormais les deux tires :
« La Montagne », éditée par le Club Alpin Français, elle a vu le jour en 1905, succédant aux Annuaires du CAF datant de 1874.
« Alpinisme », porte-parole du Groupe de Haute Montagne, qui est publié depuis 1926.
Le protocole de fusion précise la composition du Comité de rédaction - plus tard Comité de publication - avec les différents membres de droit des Comités directeurs du CAF et du GHM.
L'instance est animée par un directeur délégué, le président du CAF étant le directeur de la publication.
Lucien Devies est directeur de la rédaction, Maurice Martin secrétaire de rédaction.
La parution est distribuée à l'ensemble des adhérents du premier rang.
Elle sera fortement influencée par le grand alpinisme et l'âge d'or des expéditions sur les plus hautes montagnes du monde.
En février 1955, avec la fusion des deux titres, la Chronique alpine trouve naturellement sa place dans « La Montagne & Alpinisme », avec Jean Cousy qui assurera seul la rédaction. Mais en 1958, il est victime d'une chute de pierres durant une ascension. Au-delà de l'alpiniste décidé et entreprenant et du drame familial, c'est pour Devies celui qui représentait l'avenir.
Un nouveau cavalier seul
Dès le numéro suivant de la revue LM&A, Lucien Devies reprend son cavalier seul.
Celui qui a été l'un des acteurs les plus actifs de l'alpinisme sportif des années trente, et tout en restant l'observateur attentif aux évolutions, va chercher à peser dans les orientations de notre discipline.
Une tribune, où se manifestera un esprit critique
En 1958, changement notable, la chronique alpine, regard porté sur l'activité des alpinistes, va devenir peu à peu une tribune, où se manifestera un esprit critique beaucoup plus appuyé.
Les prises de position concerneront le suréquipement des voies d'escalade, la limitation des moyens techniques dans les ascensions, l'opposition aux refuges-bivouacs sur les itinéraires, et aussi la propreté de l'espace montagnard et le refus des moyens héliportés dans l'approche des ascensions.
1968 - LES PREMIÈRES LES PLUS REMARQUABLES
Au printemps 1968, devant le grand nombre d'informations concernant la chronique alpine, il va falloir trier :
« Il faut faire des choix rigoureux. Tenir compte du fait mondial de l'alpinisme... Nous retenons les premières les plus remarquables soit pour leur élégance et leur difficulté, soit pour leur aptitude à devenir classiques ».
En ces années-là, la chronique ne passera pas à côté des progrès décisifs dans le matériel, ils vont permettre des progrès gigantesques.
1977 - UNE CONTRIBUTION UNIQUE
- En 1977, Devies abandonne la rédaction de la Chronique alpine en acceptant de passer la main (voir le dossier : Un historique du Club Alpin Français de 1941 à 1974).
Jean-Paul Zuanon a bien souligné une contribution unique :
« Sous son impulsion, la Chronique alpine ne s'est pas limitée à une simple mémoire. Elle a contribué à diffuser une certaine image d'un alpinisme pur et propre, riche de certaines valeurs morales auxquelles quelques décennies plus tard, nous ne pouvons qu'adhérer et que la revue du Club entend continuer à défendre ».
DES OBSERVATIONS PERTINENTES
Henri Agresti assurera un moment, en 1978 et 79, la rédaction de ces pages d'information. Un temps suffisant pour mettre en exergue quelques observations sur les évolutions du moment.
Enfin est évoquée, pour tenir compte des progrès accomplis par les grimpeurs, l'ouverture de l'échelle des difficultés Welzenbach, en ajoutant aux six degrés traditionnels. L'escalade sportive viendra plus tard faire exploser le curseur.
1980 - FAIRE VIVRE CETTE CHRONIQUE
En 1980, la chronique alpine est reprise par Claude Deck qui la conservera jusqu'en 2015. La chronique continuera à se construire, en essayant d'observer les changements et les progrès des alpinistes et autres ascensionnistes dans le monde et en s'appuyant sur des correspondants faisant autorités, notamment Adams Carter et Jozef Nyka.
Peu à peu, une nombreuse presse spécialisée va fournir une abondance d'informations et de commentaires. La Chronique alpine de la revue LM&A qui disposait jadis d'une presque exclusivité se trouvera sérieusement concurrencée.
Le développement de la fréquentation des montagnes, celui du courrier électronique et la pertinence des nouveaux médias nous conduiront peu à peu vers une chronique des seuls événements choisis et événements marquants, en insistant sur les grands axes des évolutions :
< L'avènement de l'escalade sportive
< L'autonomie de la cordée et le recours à la technique alpine pour envisager une ascension himalayenne.
< La prise en compte de l'environnement.
2017 - UN NOUVEAU CHRONIQUEUR
La main passe pour la Chronique alpine, avec Rodolphe Popier très impliqué dans l'actualité des ascensionnistes d'aujourd'hui, et particulièrement bien informé.
Un cartouche résumant un itinéraire
Depuis plusieurs années un résumé, sous la forme d'un cartouche, peut servir d'information dans les chroniques alpines, concernant les différentes difficultés rencontrées au cours d'une ascension.
Voici les renseignements proposés :
1 - Hauteur de l'itinéraire en mètres
2 - Difficulté de l'ensemble de D à ED et ABO
3 - Difficulté rocheuse max ou obligatoire, de 3 à 8
4 - Difficulté d'escalade artificielle, d'A1 à A5
5 - Difficulté d'escalade mixte, de M1 à M12
6 - Difficulté d'escalade glaciaire, engagement de III à VII, difficulté de 1 à 7.
Exemple possible : (850m/TD sup/6a/A2/M5).
Des concertations entre chroniqueurs sont encore nécessaires pour un usage généralisé en Europe continentale.
EN GUISE DE CONCLUSION
Le développement du courrier électronique et le portage de l'écrit par les moyens informatiques laissent aisément prévoir d'autres évolutions dans la transmission et la diffusion de l'information alpine.
Gageons que notre Chronique alpine devra beaucoup savoir s'adapter pour continuer - en citant notre éminent prédécesseur - « à répondre à l'intérêt que beaucoup d'alpinistes portent à l'activité des autres comme s'il s'agissait de membres de sa famille ».
LES SUITES DE LA CHRONOLOGIE DE CE DOSSIER DEVRONT ÊTRE AJOUTÉES ULTÉRIEUREMENT
CONSULTATION
La plupart des textes concernant l'historique de la montagne et de la FFCAM sont disponibles au Centre fédéral de documentation de la FFCAM, 24, avenue de Laumière, 75019 Paris.
Notamment dans les différentes publications :
- Les Annuaires du CAF, de 1874 à 1903.
- Les Bulletins du CAF, de 1876 à 1903.
- La Montagne, de 1904-1905 à 1954.
- Alpinisme, de 1925 à 1954.
- La Montagne & Alpinisme, depuis 1955.
- Les Annales du GHM, de 1955 à 2001 et Cimes, de 2002 à 2015.
Les livres constituant la bibliothèque de la FFCAM sont tous référencés.
CONSULTATION EN LIGNE
Accès aux références
Vous pouvez consulter en ligne le catalogue du CFD avec un accès aux références pour l'ensemble des articles des périodiques et pour les livres.
Il suffit de saisir un mot caractéristique ou un des mots clés d'un ouvrage recherché, dans l'un des champs appropriés (auteur, titre, sujet, année d'édition) et vous aurez accès aux références.
Accès aux publications
Vous pouvez rechercher en ligne les titres suivants :
- Les Annuaires du CAF, de 1874 à 1903, consultables sur le site de la Bibliothèque nationale : http://gallica.bnf.fr
- Voir aussi : www.archive.org et utiliser le mot clé : club alpin français.
- Les Bulletins du CAF, de 1876 à 1903, consultables sur le site de la Bibliothèque nationale : http://gallica.bnf.fr
- La Montagne, de 1904-1905 à 1954, consultables sur le site de la Bibliothèque Nationale : http://gallica.bnf.fr
- La Montagne & Alpinisme, depuis 1955, consultables sur le site de la Bibliothèque nationale : http://gallica.bnf.fr
- Enfin, Alpinisme, de 1926 à 1954, accessibles sur le site du GHM, avec Les Annales du GHM (1955-2001) et Cimes (2002-2015).